
L’été est la saison du cœur, de la joie, les bras grands ouverts vers le ciel disons un grand oui! Faire vibrer la joie du cœur pour dire non à tous nos interdits inconscients, nos croyances héritées et tout ce qui ternit notre soleil intérieur. Chanter, danser, jouer, pour alléger les lourdeurs du passé et nous réconcilier avec notre plein potentiel. La pleine lune qui se forme dans l’axe cancer/capricorne nous interpelle justement sur notre passé afin de nous en libérer et de nous engager avec douceur dans la transformation. L’énergie du cancer, reliées à nos racines, nos fondations, sur lesquelles nous nous sommes appuyer pour grandir sont-elles assez solides, et toujours d’actualité? L’énergie du capricorne, notre sens des responsabilités, notre fiabilité et stabilité, nous permet-elle de nous élever à la hauteur de nos ambitions?
Tout l’intérêt de travailler ces deux énergies, atteindre un équilibre entre nos monde émotionnel et notre monde matériel, entre notre douceur et notre prise d’initiative, notre besoin de sécurité et notre besoin d’élévation. L’énergie cancer, en lien avec la lune, est une invitation à devenir une mère bienveillante envers nous-même, à nous soutenir et nous accompagner pour favoriser notre sécurité intérieure. L’énergie capricorne, en lien avec Saturne, d’incarner le père en nous, qui nous guide, nous instaure un cadre sécurisant afin de faire grandir en nous ce que l’on souhaite vraiment. Les moments de pleine lune sont toujours favorable pour libérer, pardonner, et nous alléger en vue d’un nouveau cycle. Et avec celle de mercredi c’est essentiellement en lien avec notre passé. De quoi avez-vous besoin de vous détacher pour grandir, pour vous accomplir et vous élever? Un passage pour prendre soin de nos blessures tout en décidant de nous en décrocher pour avancer plus librement, cesser de tourner en rond, de répéter encore et toujours les mêmes schémas pour nous incarner véritablement avec force et courage.
Je vous souhaite une semaine de douce et joyeuse retrouvaille avec vous-même.
Sandrine